Conclusion

Pour conclure, le transhumanisme est l’avenir de l’homme et peut être l’apparition d’une nouvelle espèce qui voit ses capacités physiques et mentales augmentées et son espérance de vie rallongée. Les NBIC (nanotechnologie, biotechnologie, informatique et sciences cognitives) sont les technologies utilisées pour le transhumanisme dans l’espoir d’une disparition du vieillissement de l’Homme et de certaines maladies héréditaires comme la mucoviscidose en remplaçant la séquence génétique.

Cependant, il est aussi une source d’inquiétude pour les scientifiques ainsi que la population, tout d’abord d’un point de vue éthique avec la disparition des métiers de classes moyennes ou encore l’apparition de cyborg, puis d’un point de vue médicale puisque les scientifiques n’ont pratiquement aucune connaissance sur les dangers de ces technologies sur le corps. Raymond kurzweil pense que d’ici quelques années, l’informatique aura une puissance similaire à celle d’un cerveau voir plus. A l’heure actuelle, la majorité de la population n’est pas encore prête à subir ces changements. Donc, il prévient le côté dangereux du mouvement transhumanisme, le gouvernement promulgue donc des lois bioéthiques.

Néanmoins, ce mouvement est de plus en plus grandissant et se développe notamment dans les pays du Nord comme les États-Unis ou la France par l’implication de grandes compagnies.

Un homme augmenté est plus envisageable malgré qu’il reste beaucoup de progrès à réaliser pour atteindre l’immortalité.

Ainsi, nous pensons que la société sera forcément confrontée au mouvement transhumanisme et à l’évolution des nouvelles technologies mais pour nous, cela aura des avantages et des inconvénients qui seront surement un danger pour l’Homme.

        Les Transhumanistes se préoccupent aussi des questions écologiques et essayent de trouver des solutions à ces problèmes en liant le mouvement transhumanisme à l'écologie. Donc, ils veulent aussi améliorer la société en voulant par exemple lié l'humain, la nature et les technologies. Dans quelques années, on pourra peut-être parler de transhumanisme écologique.