Introduction.

Publié le par CORNU Clarisse

Depuis des années, l'homme guérit, soigne par différents moyens mais il cherche de plus en plus à repousser ses limites intellectuelles et physiques dans le but de repousser la mort, de devenir immortel.

 

Le terme transhumanisme est créé en 1957 par Julian Huxley, le premier directeur de l'UNESCO. Ce terme est repris dans les années 80 en Californie et le transhumanisme (symbole h+) devient un mouvement intellectuel visant à améliorer et à augmenter les capacités de l'être humain grâce au développement des technologies. Les transhumanistes ont l'ambition de transcender les limites biologiques, de retarder le vieillissement et de traiter des maladies jusque-là sans traitement.

Plusieurs associations ont été créées, par exemple l'association française « Technoprog » fondée par Marc Roux en 2010 où ils répondent à la question de l'homme « augmenté », de nombreux scientifiques travaillent sur ces nouvelles technologies qui font avancer le transhumanisme. Google est l'un des principaux sponsors du transhumanisme car il finance une grande partie des entreprises et des scientifiques qui travaillent sur les technologies du futur : NBIC.

 

La « Transhumanist declaration » créée par l'association « Humanity+ » a été rédigée en 1999 et proclame « le droit naturel, pour ceux qui le désirent, de se servir de la technologie pour accroître leurs capacités physiques, mentales ou reproductives et d’être davantage maîtres de leur propre vie »

Cependant, ce nouveau mouvement amène à se demander si le transhumanisme est un avenir pour l'Homme ou un concept dangereux.

Premièrement, nous commencerons par vous parler des NBIC, un projet en développement puis dans une deuxième partie nous parlerons des avancées scientifiques pour un homme « augmenté ». 

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